• Rock Star Vampire d'Yves Bulteau  

    "Tout au fond de moi-même, j'ai toujours su que je n'étais pas comme les autres."

    Selma a 17 ans. Ses sensations sont celles d'un fauve, sa force physique est surhumaine. Elle aime le goût du sang et ne supporte pas la lumière du soleil. Ses parents lui cachent-ils quelque chose de grave, comme une maladie incurable ? La nuit lui inspire des chansons étranges qu'elle poste sur le net. Découverte sur Youtube par un producteur avisé, Selma rejoint un groupe de rock, mené par un jeune guitariste de génie au charme envoutant. Mais la force sombre qui possède Selma lui interdit d'aimer...

    Rock Star Vampire avait pourtant une idée de base intéressante. Malheureusement, le résultat est très loin de ce que la quatrième de couverture laisse entendre.

    La première chose qui m'a dérangé, c'est la distance qu'il y a entre l'héroïne et nous, le lecteur. Tout est raconté comme si on était loin, sans accroche ni affinité, c'est raconté en surface, sans être jamais approfondi. Et c'est là le gros point noir du roman. Rien n'est creusé, que ça soit les personnages ou l'histoire. Je n'ai pas réussi à m'intéresser à quoi que ce soit.

    Selma est distante, froide et sans saveur. Elle aurait pourtant pu avoir du charisme mais ce n'est qu'une ado en mal de repaire et d'identité. Rik, le guitariste, je l'ai bien aimé au début du roman, quand il découvre ce qu'est Selma mais ensuite il ne sert plus à rien. Et je dirais que c'est même parfois un boulet que traîne l'héroïne. Les autres membres du groupe sont tellement transparents que j'ai oublié leur prénom à l'heure d’écrire ma chronique. La musique, qui aurait dû être le cœur du roman n'est en fait qu'un prétexte pour rassembler les personnages. Il n'y a d'ailleurs qu'un seul concert, certes bien retranscrit car il a su me captiver, mais après ça vous pouvez oublier le rock. C'est ensuite une quête identitaire pour l'héroïne.

    L'écriture de l'auteur est simple. Ça se lit facilement mais j'ai quand même traîné pour le lire car je n'y aie pas trouvé d'attrait particulier. La fin du roman m'a laissé une impression de trop grande facilité. Si une suite voit le jour, ça sera sans moi. Voilà un roman dont je suis totalement passée à côté ! Merci quand même aux éditions du Pré aux clercs pour le partenariat. 

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  • Rose morte de Céline Landress

    France, fin du XVIème siècle. C'est dans ce pays en proie à de terribles dissensions religieuses que se réfugient les Greer, fuyant l'Angleterre élisabéthaine. Eileen, seule enfant du comte, est une jeune femme vive et de caractère. Mais son âge avance, et son père la met au pied du mur : elle doit se marier. Et c'est en faisant tout pour éviter cette terrible obligation à l'aide de sa fidèle amie Charlotte que Rose fera connaissance d'Artus de Janlys. Le séduisant et mystérieux comte l'entraînera dans un univers dont elle ne soupçonnait pas l'existence, où les crimes terribles qui secouent Paris trouveront une explication apparemment inconcevable, mais bel et bien réelle...
     
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    Rose morte de Céline Landress

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    Lorsque j’ai débuté le roman, je dois avouer que j’ai eu quelques difficultés avec le côté historique de l’histoire. En effet, on découvre la famille d’Eileen qui est réfugié en France depuis pas mal d’années maintenant et la « paix » entre les catholiques et les protestants n’a jamais était aussi précaire. Le chef de la famille Greer veut à tout prix marier sa fille unique. Mais à 28 ans, elle est déjà une vieille fille et ne compte pas se laisser faire comme ça. Ayant déjà fait capoter plusieurs accord entre son père et plusieurs prétendants, elle compte bien récidiver avec l’aide de sa meilleure amie Charlotte.

    Les 100 premières pages ont été très longues pour moi. Entre le contexte historique et les manœuvres d’Eileen pour esquiver le mariage j’avoue que je n’ai pas vraiment accroché. Mais à partir du moment où elle rencontre le comte de Janlys, ce dernier amène une aura mystérieuse. Le roman prend une nouvelle dynamique et il m’a été impossible de le lâcher à partir de cet instant. Les événements s’enchaînent et quelqu’un s’en prend à la famille de la jeune femme.

    Le personnage d’Eileen, qui préfère qu’on l’appelle Rose, est haut en couleur. Elle pourrait très bien être une contemporaine tellement son comportement est moderne. Elle ne veut pas être un poids pour sa famille mais ne veut pas non plus dépendre d’un homme. Je me suis rapidement attachée à elle et sa curiosité qui lui joue souvent des tours. Bien évidemment le comte de Janlys, par qui la touche fantastique arrive, est également extrêmement intéressant. Leur relation colle bien à l’époque, faite de non-dits et de convenance à respecter. Cela ne m’a pas empêché de l’apprécier, bien au contraire. La relation entre Rose et Adelphe m’a beaucoup plus tout comme celle entre Artus & Adelphe. Le trio est complémentaire sur beaucoup de point, je me suis très attachée à tous les trois.

     L’auteure est très habile puisqu’elle réussit à nous tenir en haleine et mélange avec brio Histoire, romance et fantastique. J’ai d’ailleurs été amenée sur différentes pistes au sujet de la nature de Janlys pour finalement avoir une bonne surprise. La mythologie créée est vraiment captivante et originale.

    L’écriture de l’auteure colle parfaitement à l’époque du roman. Les décors ainsi que les tenues sont très bien décrites. Heureusement pour moi qu’il y a les notes en fin de roman pour donner plus amples explications sur les événements historique.

    En conclusion, après un début quelque peu difficile, j’ai finalement été captivée par ce roman qui mélange les genres avec habileté. Pour couronner le tout, la couverture, qui est sublime, est la parfaite représentation de Rose. J’attends donc la suite avec impatience ! A
      
    Rose morte de Céline Landress
     

    Rose morte de Céline Landressie

    France, Fin du XVIIIe siècle. Alors que la révolte gronde aux quatre coins de la France, Rose est rappelée de la cour de Russie. De retour aux côtés de son mentor, elle découvre que la situation vacille également dans l'univers occulte d'Artus. Les Arimath doivent faire face à de sauvages attaques sur leurs terres, tandis que la grogne contre la noblesse croît d'instant en instant parmi le peuple. Entre la révolution naissante et les prémices d'une guerre au sein du monde obscur, les bouleversements dans l'existence de Rose s'annoncent cataclysmiques. Leurs conséquences risquent fort de faire sombrer en un même chaos les existences des humains aussi bien que des immortels.
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    Rose morte de Céline Landress

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    Ce qui surprend dès les premiers pages c'est le bond dans le temps. En effet, il s'est passé presque 200 depuis la fin du 1er tome, on se retrouve l'année de la révolution française. Et en 200 ans, beaucoup de choses se sont passé, et pas pour nous réjouir. Nos petits cœurs de midinettes sont mis à rude épreuve. Si vous vous imaginez qu'Artus & Rose filent le parfait amour, vous vous fourrez le doigt dans l’œil, et jusqu'au coude. Rose exilée depuis 10 ans en Russie revient sur l'appel de son mentor. Mais son accueil comme son retour sont plus que glacial, sans compter qu'elle ne revient pas seule.

    J'ai été immédiatement captivée par l'histoire. J'avais eu un peu de mal avec le côté historique dans le 1er tome, ici point du tout. L'écriture de l'auteure est toujours aussi délicate et précieuse. Je l'ai même plus appréciée que dans le précédent. Céline Landressie réussit à créer une mythologie vraiment intéressante en alliant des personnages haut en couleur et une trame de fond passionnante. Rare sont les romans où l'un des éléments n'est pas déprécié.

    Parlons un peu des personnages, car il faut bien le dire, ils m'ont fait criser. J'ai trouvé Rose fidèle à elle-même, toujours aussi attachante. J'ai été totalement derrière elle pour rendre sa monnaie de sa pièce à Artus. J'aime beaucoup sa répartie, le seul reproche que je peux lui faire c'est d'être aveugle sur les sentiments des hommes qui l'entourent, mais je lui pardonne, elle a autre chose à penser.

    Artus est on ne peut plus énervant. Mais qu'il est borné ! Une vraie tête à claque ! Bon, je l'aime quand même hein, mais voilà, une tête de mule. Mise à part son comportement énervant face à Rose, on découvre une facette extrêmement sombre de sa personnalité. Et ce n'est pas pour me déplaire, il n'est pas l'Héritier des Arimath pour rien.

    On retrouve un Adelphe très maussade sans qu'on comprenne exactement la raison. Il ne se livre pas, même à Rose qui était pourtant son amie proche. Leurs relations tendues affectent d'ailleurs beaucoup la belle immortelle. Je me pose d'ailleurs beaucoup de question à propos du vicomte. Notamment lors d'une scène en particulier. Et ce qu'on apprend à la fin du roman à son sujet m'a brisé le cœur.

    Un nouveau personnage vient compléter le trio : Vassili. Lui, je l'ai aimé immédiatement. Des trois hommes c'est le seul qu'on arrive à lire sans difficulté. Il est aux antipodes des frères d'Holival, aussi bien par son physique que par son caractère. Mon petit cœur a fondu pour lui également (oui j'suis faible, je craque pour tous). J'ai eu envie de lui faire des câlins plus d'une fois !

    Ce tome est bien meilleur que le précédent. On rentre directement dans l'action, dans le monde obscur d'Artus et de son engeance. C'est un roman sombre et violent mais allégé par des touches d'humours (l'une des piques de Vassili m'a fait beaucoup rire). Des réponses sont données mais soulèvent encore plus de questions. Je me suis fait pas mal d’hypothèses pendant ma lecture, dont certaines étaient exact. L’auteure, telle une araignée, tisse petit à petit sa toile. Mais lorsque l’on tire le bon fil, ce qui semblait disparate au premier abord finit par prendre son sens et ne former qu’une seule intrigue à grande échelle. J'attends donc la suite avec GRANDE impatience (et c'est un euphémisme). A

    Rose morte de Céline Landressie

    Rose morte de Céline Landressie

    Tome 1 : La floraison
    Tome 2 : Trois épines
    Tome 3 : Flétrissures
    Tome 4 : ???
    Tome 5 : ???

     
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  • C'est si bon d'être mauvais...

    SAISON 1.

    À 19 ans, Kaleb Helgusson se découvre empathe : il se connecte à vos émotions pour vous manipuler. Il vous connaît mieux que vous-mêmes. Et cela le rend irrésistible. Terriblement dangereux. Parce qu'on ne peut s'empêcher de l'aimer. À la folie. À la mort. Sachez que ce qu'il vous fera, il n'en sera pas désolé. Ce don qu'il tient d'une lignée islandaise millénaire le grise. Même traqué comme une bête, il en veut toujours plus. Jusqu'au jour ou sa propre puissance le dépasse et ou tout bascule... Mais que peut-on contre le volcan qui vient de se réveiller ? Le premier tome d'une trilogie qui, à l'instar de la série Dexter, offre aux jeunes adultes l'un de leurs fantasmes : être dans la peau du méchant.

    Présenté au club de lecture, j’ai sauté sur l’occasion pour emprunter ce livre. En effet, les avis étant tellement divergents sur ce roman que je n’avais pas osé l’acheter de peur d’être très déçue. J’ai donc débuté le roman en oubliant tout ce que j’avais pu lire sur son compte, vierge de toute idée. Et j’ai bien fait !

    On découvre Kaleb, jeune homme à la beauté du diable qui utilise sans vergogne ses atouts pour charmer les filles. Il compense le manque maternel par ce semblant d’amour que lui procurent les conquêtes d’un soir. Lorsque le « don » de Kaleb se dévoile il croit devenir fou et ne comprend pas bien ce qu’il lui arrive. Il est un EDV, un Enfant du Volcan, sensible aux émanations d’un volcan Islandais. C’est un ado perturbé qui doit faire face à ses responsabilités. Responsabilités qui sont trop grandes pour ses épaules. A la recherche de ses origines, sans repère et seul il va devoir faire des choix. Et parce qu’il est un ado livré à lui-même, dans la vie comme avec sa capacité d’empathie il va faire les mauvais choix. Je me suis prise d’affection pour Kaleb parce qu’il est perdu et seul. Et ce, malgré ses actions. Lorsqu’il utilise son don, il nourrit la « bête » mais est ensuite pris de remords face à ses méfaits. Il garde une touche d’humanité jusqu’à un certain événement, inévitable puisqu’on le manipule depuis le début.

    Face à Kaleb, un panel de personnages est mis en place petit à petit. Chacun prend sa place et tisse sa toile autour du jeune homme. Le père de Kaleb est désemparé face aux attentes de son fils sur ses origines. Robin son voisin et ami baba cool l’aide tant bien que mal, sa seule oreille compréhensive. Le colonel, chef du groupe SENTINEL est un homme froid et calculateur, prend plaisir à torturer et n’a aucune pitié. Son assistante, plus jeune et moins infaillible se dévoile petit à petit. Lucille la petite amie incapable de se défaire du jeune homme qu’elle a dans la peau. Mais chacun cache quelque chose et Kaleb ne peut faire confiance en personne, pas même en lui-même.

    L’écriture est accrocheuse, instinctive et incisive. L’auteure dépeint les émotions de Kaleb de telle manière qu’on pourrait les faire sienne. On change de personnage sans être perdu et la narration change en fonction dudit personnage. Le roman est découpé en cinq parties, comme les cinq states des capacités d’un EDV, Kaleb va évoluer de la même façon pour un final en apothéose.

    Au fil des pages j’ai rapidement été captivée par l’histoire et les personnages. Je me suis posée beaucoup de questions, sur l’entourage de Kaleb, les intentions des uns et des autres. Impossible de lâcher le bouquin, comme droguée par Kaleb. On ressort en manque, avec l’envie de dévorer la suite et d’avoir les réponses à toutes les questions qu’on se pose encore. C’est une très bonne surprise que ce roman, une fois ma chronique finie je dirais même un coup de cœur car oui, j’en veux encore et je suis toujours avec mes questions dans la tête. 

    Kaleb de Myra Eljundir

    Le mâle dans la peau...

    SAISON 2.

    Magnétique et sensuelle, Abigail est l'arme la plus redoutable du réseau SENTINEL. 
    La jeune succube se nourrit de votre énergie vitale et vous consume dans l'extase. 
    Inutile de lutter : l'attraction qu'elle suscite est irrésistible. 
    Même si faire l'amour avec elle, c'est s'unir à la mort. 

    Kaleb Helgusson est plus dangereux encore, car il porte désormais l'empreinte du Mal. 
    Quand leurs routes se croisent, Abigail a beau le repousser, l'empathe l'attire comme un aimant. 
    Au terme d'un affrontement passionnel sans merci, ils découvriront avec effroi ce que la combinaison de leurs dons peut accomplir. 
    Mais seront-ils capables de maîtriser leurs désirs les plus sombres ? 

    Ce deuxième tome est tout aussi bon, voire meilleur que le premier. On retrouve Kaleb, plus perdu que jamais, parti à la rencontre d’Abigail en Irlande. J’aime toujours autant le jeune empathe, il reste fidèle à lui-même, arrogant, dragueur et blagueur. Mais le personnage qui se détache c’est surtout Abigail. La succube rousse est en grande forme et prête  à tout. Sa première rencontre avec Kaleb est plutôt drôle et leur relation est assez représentative de cette entrée en matière. Elle oscille constamment entre attirance et répulsion. La scène entre Kaleb et Abigail est forte en sensualité. Rien d’étonnant quand on sait la nature de la jeune fille. L’auteure expose des scènes sublimes à d’autres vraiment cruelles. Mais c’est toujours un régal. Je n’ai pas été déçue. On suit l’expédition de Kaleb et des autres d’Enfants Du Volcan qu’il rencontre. Je suis d’ailleurs curieuse de voir ce que réserve l’Américaine.

    L’auteure nous manipule autant que ses personnages, elle nous fait croire à quelque chose pour finalement nous amener sur une autre voie. J’avoue que si j’ai soupçonné certaines choses je me suis totalement fait avoir pour d’autres. A la fin, je ne savais même plus à quoi m’attendre. Et cette fin ! Non mais non ! J’ai eu envie de crier de frustration. On nous lâche une bombe et pouf, c’est la fin. Bref, je veux la suite et vite.

    Kaleb de Myra Eljundir

    Tout est bien qui finit mal...

    SAISON 3.

    La prophétie du volcan prédit l’avènement d’une nouvelle ère, initiée par l’Élu… Or qui, de Kaleb, Abigail, le colonel Bergsson ou encore Mary-Ann bouleversera à jamais le destin des enfants du volcan ? Et si la mort est la clé, tous ne sont-ils pas des morts en sursis ? Seul le Livre du volcan peut apporter des réponses à Kaleb et lui permettre de survivre au volcan qu’il a réveillé. Mais le tenir entre ses mains peut se révéler plus destructeur que tout… Ce dernier tome de la trilogie de Kaleb lève le voile sur une mythologie qui prend racine bien au-delà de ce que vous pouviez imaginer. Plus que jamais, il est question de pouvoir, de sombre passion, de manipulation machiavélique et du parfum sulfureux d’une saga millénaire dont le dénouement pourrait bien vous faire penser que tout est bien qui finit mal.

    J'ai été déconcertée en lisant les premières pages de ce dernier tome. En plus de l'histoire de Kaleb, on découvre le Livre du Volcan. Livre du Volcan qui prend beaucoup (trop?) de place, il représente les trois-quarts de l'histoire. J'avoue, j'ai un gros faible pour Kaleb, et je n'ai pas eu ma dose ! J'aime vraiment ce mauvais garçon à la beauté du Diable. 

    Néanmoins, le Livre du Volcan apporte les réponses à toutes les questions que l'on se pose. Comment tout ça a commencé ? Qui sont vraiment les Enfants du Volcan et les Sentinelles. C'est à travers différentes vies mais un destin commun que l'on découvre les femmes et les hommes imprégnés de la force du Volcan. J'ai été touchée par Hermeda, innocente jeune femme souillée par la jalousie mais aussi par Loki (oui, oui) dont l'esprit libre et farouche va se heurter aux traditions. Chaque personnage du Livre du Volcan est terriblement attachant et extrêmement travaillé.

    L'auteure dévoile son univers ô combien recherché et fantastique. J'ai été captivée par ces histoires qui s'imbriquent les unes dans les autres pour former un tout. Intégrer la mythologie nordique et la légende du Loch Ness est vraiment habile. Myra Eljundir se permet même de jouer son propre rôle !

    On a droit à un final en apothéose, Kaleb fait face au colonel et Abigail révèle sa vraie nature. Les dernières pages sont haletantes et envoûtantes. Je n'ai pas été déçue, même si j'aurais aimé plus de Kaleb. C'est une série à l'image de son héros, de ses héros : sombre, violente et fascinante. Mais elle porte aussi une once d'espoir et de bonté. L'auteur donne une âme aux personnages et vole la nôtre, mais c'est si bon qu'on en redemande...

     

    Kaleb de Myra Eljundir

    Kaleb de Myra Eljundir

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